Communiqués

Compte-rendu Monts debout #3
Mercredi 08 Juin 2016

Rassemblement citoyen, paroles partagées....
Nuit Debout Rurale, sans étiquette et sans à priori !
Soupe et boissons chaudes Chaises gobelets, quiches et gâteaux sont les bienvenus

Synthèse Monts Debout - Mercredi 8 juin 2016
St Genis L'argentière (69) Esplanade de la médiathèque
18h – Accueil / repas partagé 19h30 – Assemblée
à peu près 45 personnes présentes.
***

Assemblée :
Pourquoi renouveler la Nuit des Monts ? (Texte lu)
Présentation des trois « panneaux participatifs » sur lesquels chacun est invité à déposer des infos :

Propositions d'événements
Partage de sources
Propositions pour l'organisation de la prochaine fois
Explication de la gestuelle, de la façon de prendre la parole et du rôle des facilitateurs.
Nous étions une quarantaine de personnes réunies en assemblée vers la médiathèque du village, au pied d'un tilleul planté à l'occasion du bicentenaire de la révolution française, pour discuter, échanger.

Prises de paroles :
- Une question est posée à l'assemblée : Quelle valeur cela a pour vous de voter ?

- Voter pour des valeurs, pas des personnes. Des consciences se regroupent, c'est un peu pour ça que des événements tels que les nuits debout existent. On vote parcequ'on se dit que c'est bien de voter, mais dans quel but ? Je voudrais pouvoir voter pour des valeurs, et non pour des personnes.

- Vote blanc pas pris en compte. Je n'ai jmais voté parce que le vote blanc et nul ne compte pas. On oublie les gens qui viennent s'exprimer en votant blanc en les classant au même niveau que l'abstentionnisme.

- Voter, ça a de la valeur, car des gens se ont battus pour qu'on ait le droit de voter. Normalement, ça représente quelque-chose, le droit de s'exprimer, mais le vote est dénaturé. Je vais continuer à voter, mais je suis décidé à ne plus voter par défaut. Pour retourner vers le principe de démocratie, il faudrait envisager un mix entre élection et tirage au sort, un mix entre des élus représentants et une participation directe des citoyens

Le contenu déposés sur ces panneaux sera récapitulé en fin de compte-rendu.
- Est-ce que mon bulletin de vote suffit à faire une démocratie. On a la responsibilité de s'impliquer dans la vie de la cité. Il y a un manque d'implication pour aller au-delà du vote (pésence des citoyns aux conseils municipaux)

- Le jour du vote en 2017, je déciderai peut-être d'aller à la pêche plutôt que de voter.

- Il faut nuancer les échelles :
pour les communales, on peut croiser tous les jours les élus, discuter avec eux. On a plus
d'implication dans la politique. Ce n'est pas le cas avec le président. Si l'abstention dépassait les 50%, cela indiquerait que le système actuel ne fonctionne pas, qu'il y aurait besoin de changer.

- Est-ce que ces structures ne seraient pas à remettre en question ?
Pas d'échanges possible avec l'Etat par rapport au maire. A quel moment l'échelle passe les limites de la possiblité d'échanger : Interco ? département ? région ?
En réagissant par rapport au choix de ne plus voter ar défaut, et si on se retrouve dans une configuration comme en 2002 ?

- Le bulletin blanc ou nul, même s'il n'a pas vraiment de poids, a quand même plus d'influence que de rester chez soi.
Les urnes sont dépouillées en public, et ce n'est pas le cas dans tout les pays. Même si c'est long et fastidieux, si on s'y intéresse, on peut vérifier par soi-même que le nombre de voix affiché est le bon, qu'on peut avoir confiance en l'intégrité des rsultats.

- Référence à Pierre Rhabi : il faut que ça vienne d'en bas, c'est pour ça qu'on est là ce soir.

- Réponse à l'interrogation concernant le vote par défaut : Si à un moment donné le FN arrive au pouvoir, c'est parce-que des gens auront voté FN, pas parce-que je n'aurait pas voté contre. Et il y a des partis qui jouent là-dessus, sur le fait qu'ils obtiendront des voies contre le FN et pas pour eux.

- Il y a une forme de politique qu'on ferait mieux d'ignorer, car on ne peut pas lutter contre eux par les médias et les moyens traditionnels. Sur les petites communes, le citoyen a une place a prendre, mais cela on ne nous l'enseigne pas à l'école. Les communes vont avoir besoin de nous, citoyens, en vue des coupes budgétaires qui s'annoncent.

- Comment sont représentées les personnes «invisibles» ? (personnes en situation de handicap, sans-papier...) Tout est cloisonné. Comment les intégrer dans le système, leur donner une place en tant que citoyen ?

- Saillant, une commune pas comme les autres. Demande si quelqu'un peut développer sur ce thèmee. Si le vote blanc ateint les 51%, où en est la démocratie ?

- Les élus aujourd'hui ne nous représentent pas. mention du film «j'ai pas voté» : explique que la génèse du système fait que l'élection a été céée par des élites qui savaient que ce système allait amener au pouvoir une petite partie de la population. Cite quelques personnes : Yves Sintomer, Dominique Rousseau. Tirage au sort ? Une assemblée élue, avec des gardes-fous (pas de cumul de mandat...) liée à une assemblée tirée au sort. Comment on fait avancer les choses ? Passera par une VIème république ? C'est dès l'école qu'il faut retraviller ça, dès le fonctionnement de l'école (ex : élection des délégués de classe par tirage au sort et non sur volontariat). Participation aux conseils : on peut y ller, mais on ne nous donne pas la parole. Explication du fonctionnement effarant de «Au coeur des cantons» : C'est une opération de comm : des questions ont été posées par internet, fait pour que les élus répondent à es questions uniquement, les citoyens peuvent interroger, mais pas s'exprimer. On ne peut pas se contenter que la démocratie ne vivent que par le vote, ce n'est pas
suffisant. Il faut être plus acteurs.

- Est-ce que quelqu'un sait où ça en est d'écrire une constition par le mouvement Nuit
Debout ?

- Film «Demain» exemple de l'Islande où les citoyens ont écrit une constitution, mais elle n'a jamais été appliquée. Tyranie de «l'absence de structure». On ne veut pas de structure, mais ce n'est pas une solution. En cherchant à s'éloigner des structure, cela amène d'autres cadres, d'autres formes de pouvoir qui viennent à nouveu structurer.

- Problème avec la notion de constitution. Une onstitution, c'est une structuration de pensées de personnes qui vont dans le même sens. C'est un peu comme ici, au final on est un peu toujours qu'entre convaincus.

- Réponse sur Saillant :
Des conseillers ont repris en main la politique dans leur commune. Le conseil précédant était installé depuis longtemps et n'était plus en adéquation avec la volonté des itoyens. Un groupe de citoyens a alors monté une liste et a fait campagne en organisant des débats, des réunions ouvertes... Ils n'avaient pas de plan de campagne à la base, celui-ci a été construit au fil de ces rencontres, par les citoyens.
Quand ils ont été élus, ils ont continué à faire les réunions pour prendre les décisions, les citoyens travaillant avec le conseil. Certaines prises de décision sont faites de manière «traditionnelle», car la loi les y oblige, mais pour toutes les autres, ce sont les citoyens qui forment des groupes de travail, les conseillers ne sont alors plus que des conciliateurs, modérateurs. Pour que ça fonctionne, il a fallu que des personnes prennent en main les choses. Ces personnes travaillaient dans l'animation et avaient accès à des outils de facilitation pour mettre en place ces groupes de travail et ce fonctionnement. Elles ont ensuite formé les autres conseillers à ces autils, qui ont eux-même formé les citoyens. C'est entre 1/3 et 1/2 de la population qui participe régulièrement à des réunions

- Complément d'information sur Saillant : Cela a aussi une dimension intergénérationnelle, car l'opinion des enfants est aussi prise en compte.

- Notion d'experts usagers : les citoyens ne sont pas des experts (juristes, techniciens...), mais sont les principaux usagers des décisions prises par la municipalité, on leur reconnait donc l'expertise de cet usage.

- Retour sur la notion d' «inisibles» : concernant le hndicap, on paie aujourd'hui la politique de de Gaulles de cloisonner les gens dans des institutions, fonctionnement très militaire, et le seul qu'il connaissait. Mais on se rend bien compte que ça ne fonctionne pas. Des écoles ont essayé de se mettre en divergence, mais ont été rattrappées par le système. Il existe des pâys où les institutions pour personnes handicapées ne peuvent légalement pas accueillir plus de 15 personnes, là on peut faire un travail efficace.

- Information concernant une rencontre entre les travailleurs sociaux et le départment. Le but était de travailler avec la participation des habitants, mais c'était mal agencé. On leur a demandé à ce que les travailleurs sociaux fassent le projet, mais que celui-ci soit présenté par des résidnts. C'est une abération de faire présenter le projet par des personnes qui n'ont pas participé à son élaboration et qui sont en quelque sorte juste là pour être «exhibés». Comment faire autrement pour que ces personnes participent directement aux réunions ? Comment leur donner les moyens de s'exprimer ? On a affaire à une psudo-démocratie dans les centres médicaux-sociaux par le biais des conseils de vie sociale. Comment les faire sortir du cadre des établissements ?

- De plus en plus de personnes sont déçues par la réalité du monde de travail. Malgré le fait d'avoir choisi un travail en fonction de certaines valeurs, de nombreuses personnes se retrouvent bloquées par le système. Comment peut-on militer, faire passer des choses, dans le cadre de son travail ?

- La société n'évolue pas dans le bon sens. Les premiers impactés sont les métiers du social, de l'environnement... car trop de décalage entre les idéaux et la réalité. Soit on arrive à prendre de la distance et à accepter que la réalité soit différente de ce qu'on espérait, soit on n'arrive pas à le supporter et on change de métier. Il est cependant important de ne pas se résigner.

- Documentaire «Merci Patron». Rappelle une chose qui vaut le coup de se battre pour : La joie de vivre.

- Ce qu'on peut porter vraiment, c'est d'amener de l'inatendu, de la rencontre, de la joie de vivre.

- Tout à fait d'accord, mais il faudrait commencer dès la maternelle.

- Qu'est-ce que vous pensez du revenu universel pour tous, de notre rapport au travail ?

- On a plein de potentiel en nous qui ne peut pas se développer dans le cadre du marché du travail. Cela renvoie à l'enjeu du salaire, casser le marché du travail en donnant à chacun un salaire à vie. Il va falloir trouver une façon différente de fonctionner, pas de subordination directe par rapport à un patron. Référence à Bernard Friot.

- La notion de revenu universel, j'en rêve tous les jours. Je suis en création d'entreprise sur la découverte des plantes sauvages, la musique... mais c'est compliqué. Il faut que je fasse constamment des démarches pour démarcher, je travaille auprès de centres sociaux qui ont peu de moyens. Avec mon énergie coupée en deux, je ne peux pas faire pleinement ce qui me plaît.

- Revenu universel et salaire à vie sont différent. Le salaire à vie, c'est un peu l'extension du fonctionnement du salaire des fonctionnaires. Mais cela renvoie à la notion de salaire. Le côté universel est interressant, tout le monde en profite. Au Canada, des essais ont été faits.
- Si tout le monde a de l'argent, il risque d'y avoir une fuite de ces capitaux vers les supermarchés et les grandes entreprises.

- Mais si tout le monde a de l'argent, cela permettra de développer des initiatives alternatives.

- Vu qu'on est peu nombreux, on décide de rester en assemblée et de ne pas former de commissions.
- Reconnaissance du travail. Pourquoi est-ce qu'on a besoin que le travail soit reconnu ?

- Ce que les gens craignent, c'est le délire de l'idéal de vie. Des gens risquent de profiter du revenu universel pour continuer à travailler encore plus et s'enrichir plus que nécéssaire parce-qu'ils ont un idéal de vie biaisé (grosse télé, grosse voiture...) Est-ceque quelqu'un a des infos concernant un projet d'école alternative qui avait été lancé dans les monts du Lyonnais ?

- Il y aura une inflatioàn du niveau de vie. En réponse à la question sur l'école, l'asso Graine d'école a un projet à Saint Martin en haut, problème, c'est payant, et cher.
- La frustration permet de contrôler les gens. Un salaire pour tous, tant que es gens en veulent plus, cela aura du mal à fonctionner.

- On se rendrait compte de la vraie valeur des choses.

- Toutes ces questions, il serait bien de les mettre en place au niveau local. Cela permettrait de
courcircuiter les grandes surface. On contrôle mieux les choses au niveau local.

- Qu'est-ce que l'on met derrière la notion de travail ? Qu'est-ce qu'on en retire ? Qu'en est-il des travailleurs non-salariés (entrepreneurs, artisans...) Si on est hostiles à la notion de salariat, il faut mettre en avant l'entreprenariat.

- Répondre à ceux qui en veulent toujours plus. Il fut plafonner les salaires (Bernard Friot)
- Actuellement, on est pris par la notion de culpabilité d'être dans le revenu minimal. On est
pris dans un système qui pousse à l'excellence, tout le temps.

- Le système capitaliste concurentiel rend difficile l'entreprenariat. Il rend difficile la viabilité économique, cela casse des initiatives.

- Se mettre à son compte, on travaille sans filet. Si ça ne marche pas ? Les entrepreneurs sont rattrapés par le profit. Il existe des coop d'entrepreneurs, permet de garder le statu social de salarié tout en ayant la liberté d'entreprendre.

- Il faut qu'on arrête d'avoir peur du «si ça ne marche pas». Si le projet est préparé, il n'y a pas de raison pour que ça ne marche pas. Les choses qui pourraient ne pas marcher ont déjà été pensées.

- Il faut arriver à se libérer des peurs de faire, de change les choses. Le revenu unversel permettrait de libérer les initiatives. Au départ, ça paraît utopique, mais en y réfléchissant, c'est possible.

- Film sur les «cigales» : Les cigales sont des groupes d'habitants qui se réunissent pour faire avancer des projets, des initiatives.

- Notion de vocabulaire derrière le mot entreprendre. Au final, entreprendre ne revient-il pas à créer plus d'entreprises pour générer plus de profit ? Que signifie réussir sa vie ?

- On s'accorde sur ce qu'on dit parce-qu'on a les même valeurs. Mais ce n'est pas le cas partout, il y a une grande partie de la population pour qui ça ne va pas ce genre de système. comment faire pour faire avancer les choses ? Pour que cs échanges puissent s'élargir à des gens qui n'ont pas les même valeurs que nous pour que ça puisse nourrir le débat ? Comment vivre ensemble dans le respect les uns des autres ?

- L'entreprenaiat permet de se rendre compte de notre façon de réagir. Malgré toutes nos valeurs, confrontés à la réalités du marché et du système, on peut parfois réagir comme on ne le souhaiterais pas. il faut croire à ses projets, car le doute peut facilement arriver.
- Comment vous faites face à du racisme ? Pour ma part, je ne sais pas vraiment comment réagir dans ces cas-là.

- Il faut s'interresser sur ce qui les fait penser de manière raciste. S'ils sentent qu'on s'interresse à leur point de vue, le dialogue peut se faire.

- Souvent, cela vient d'un manque de connaissances. Ce sont des personnes qui sont influencées par les médias. Certains pourraient mieux comprendre si elles étaient mieux informées.

- Est-ce que ça ne viendrait pas déjà de l'éducation ?

- La confrontation ne fonctionne pas. C'était ma façon d'aborder les choses avant, mais j'ai constater que l'opposition ne fonctionne pas. Juste le fait d'arriver à écouter les gens aller sur leurs idées leur permet aussi de se rendre compte que leurs idées ne vont pas au fond des choses. Il faut amener les gens à réfléchir par eux-même.

- De nombreux problèmes trouvent leur origine dans la séparation de l'Homme et de la nature. La science cloisonne tout, mais on oublie le vivant, la nature.

- Livre «Sapiens» de Yuval Noah Arari. Tous les problèmes viennent de la révolution agricole, quand les gens ont commencé à se sédentairser, à cultiver.

- Qu'est-ce qu'on fait avec la loi Travail ? Des choses se sont misqes en branle. Avoir votre point de vue : qu'est-ce qu'on fait ?

- Point technique : des pétitions sont sur place et vont être amenées à Paris dans la semaine prochaine.

- Rapport de l'Homme à la nature. Il faut être prudent avec la remise en cause des sciences, c'est à double tranchants. Cla peut mener à l'ignorance. Avant le siècle des lumières, les scientifiques étaient aussi des philosophes, des artistes (ex : De Vinci). Après, il y a eu séparation entre les sciences purement techniques et les arts. Il faut faire redescendre la science de son piedestal.

- Ramène à la question du savoir et de sa transmission. On est des ganérations d'ignorants. Concernant la loi Trvail, on en parle de artout, mais au final, on n'en sais pas grand chose. Avant de me positionner sur le sujet, j'aimerais avoir de l'info objective, qui ne vienne ni du gouvernement, ni des syndicats.

- Low-tech : Inverse de High-tech, ramener la science au niveau de tout le monde.

- Dans le code du travail, on considère que salariés et patrons sont sur un pied d'égalité. Qu'en
est-il en réalité ?

- Le savoir : C'est une marque de curiosité, dès le plus jeune âge.

- Problématique de comment les choses nous sont présentées, de manière binaire. En ce moment, on entend beaucoup le mot révolution, mais une révolution, littéralement, c'es partir d'un point, fair un tour et revenir à ce même point. Donc il est temps de passer plutôt à l'avolution.

- Nous sommes confrontés à des politiques. Cela fait un moment que ça tourne en rond. Qu'est-ce que moi, nous, pouvons faire ? L'être humain a toujours vécu en tribues, et on est un peu dans ce fonctionnement ce soir. Le problème de l'humanité, c'est la relation avec la vie.

- Dans ce mode de fonctionnement, il y a une entité importante que l'on néglige trop souvent : le nomade. C'est celui qui permet de faire passer le savoir, l'information.
- On a autant de savoir et de capacités que les anciens, mais on a l'impression du contraire. C'est parce-qu'on nous cantonne dans un mode de fonctionnement et qu'on ne cherche pas à en sortir.

- La notion d citoyenneté remonte à la Grèce antique. Mais déjà quand ils étaient peu nombreux à être citoyens (pas de femmes et pas d'esclaves), c'était compliqué, alors à 7 milliards...

- Idée de créer un festival des initiatives.

- La loi travail est très ciblée par rapport au code du travail. Elle façonne des choses de façon très grave, elle ajoute de la précarité, de la souffrance et de la difficulté à se réaliser dans le travail, qui représente une part importante de nos vies.
Débat sur les suites à donner et clôture de l'Assemblée :
Volonté de renouveler les Nuits des Monts.

- Une date et un lieu sont définis pour la prochaine fois : Vendredi 24 Juin aux Halles ou à Haute- Rivoire
Les organisateurs expriment leur volonté que l'organisation tourne et que le mouvement appartienne à tous.

Une date est définie pour préparer la prochaine Nuit : mercredi 15 juin à 20h aux Halles

Ci-dessous les contenus des différents panneaux :
Sources :
- L'âme du peuple noir, W.W.B. Dubois
- la crise de la culture, Annah Arendt
- http://www.reseau-salariat.info/ (revenu de base/salaire à vie, Bernard Friot) - vidéo «j'ai pas voté»
Propositions d'événement :
- Mardi 14 juin, 11H Lyon place des Brotteaux : manifestation contre la loi travail, et son monde
- vendredi 17 juin, 20H30 Saint Martin en Haut, cinéma Paradiso avec l'ACOL, "l'intérêt général et moi" suivi d'un débat
- samedi 18 juin 10H Saint Etienne hôtel de ville manifestation contre l'A45 "un projet du passé, un rouet dépassé"
- mercredi 22 juin, 19H Saint Laurent de Chamousset, distribution du communiqué du Collectif pour un audit Citoyen de la Dette (CAC) lors de la réunion publique "au coeur des cantons".
- vendredi 8 juillet 20H30 Saint Martin en Haut cinéma Paradiso avec l'ACOL "la tourmente grecque 2", projection suivie d'un débat avec le réalisateur. Collectif pour une politique citoyenne dans les Monts du lyonnais

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